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Beaucoup de notion à voir
“Par définition, la notion de destin exclut toute forme de choix : tout est écrit d’avance, on ne décide de rien, mais croire au destin, n’est-ce pas déjà, en soi, une forme de choix…”
V. H. SCORP
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"Nos désirs font désordre, pendant que la raison abandonne nos corps lorsque vient le désastre charnel"
👉 Esprit parfait
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Les 2 Rai­sons Qui Font De Toi Une Per­sonne Qui Ne Peut Pas Avoir Le Suc­cès
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Tu ne te sens pas à l’aise dans la so­ciété, tu as du mal à t’adap­ter aux autres dans un cadre so­cial, tu as tou­jours pres­senti au fond de toi que tu as quelque chose de dif­fé­rent.
Nous vi­vons dans une so­ciété com­po­sée d’hu­mains avec qui nous par­ta­geons des idéaux, des va­leurs, des normes, des prin­cipes. Mais toutes ces règles éta­blies ne nous conviennent pas tous et nous avons nos propres va­leurs per­son­nelles. Ton point de vue et ta ma­nière de voir l’en­vi­ron­ne­ment qui t’en­toure te donne l’im­pres­sion de ne pas être comme les autres.
Ce que tu res­sens au fond de toi ne peut-être com­pris, que par toi-même ou un nombre très li­mité de per­sonnes dans ton cercle proche. Ce n’est pas un ha­sard c’est tout sim­ple­ment la preuve évi­dente d’une force créa­trice au fond de toi, qui prouve que tu as une mis­sion spé­ciale de vie propre à toi et que tu dois là réa­li­ser. Alors tu ne peux pas pas­ser à côté de ces in­for­ma­tions pré­cieuses, qui vont lit­té­ra­le­ment mo­di­fier ton com­por­te­ment à l’ave­nir pour faire de toi une per­sonne réel­le­ment in­dé­pen­dante, qui va se dé­mar­quer aux yeux de tous.
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Adopte la vraie liberté
Une grande ques­tion est à mettre en lu­mière: penses-tu être réel­le­ment libre ? Tout d’abord, qu’est-ce que cela si­gni­fie vrai­ment être libre. C’est être dans un état de conscience où l’on per­çoit nos propres bar­rières men­tales qui nous em­pêche d’ob­te­nir ce que l’on veut et qui brise en nous toute at­ti­tude de dé­pen­dance en­vers une per­sonne ou une chose bien pré­cise. Quel­qu’un qui est at­ta­ché à un ob­jet par­ti­cu­lier est-il libre ? Quel­qu’un qui a une dé­pen­dance af­fec­tive en­vers quel­qu’un d’autre est-il libre? Une per­sonne qui ne peut pas se dé­ta­cher de son ad­dic­tion au ta­bac, à l’al­cool ou à la drogue est-elle libre ? Une per­sonne qui a l’ha­bi­tude de pra­ti­quer la mas­tur­ba­tion est-elle libre ?
Ce sont des su­jets bien pro­fonds qui de­mandent mûre ré­flexion, une dé­pen­dance est beau­coup plus sub­tile que ce que l’on pense. Ces ques­tions peuvent faire l’ob­jet d’in­tros­pec­tion in­té­rieur per­son­nel. Main­te­nant avant de ré­soudre ces pro­blèmes un peu plus in­times, ob­ser­vons en­semble ce qui manque dans la so­ciété pour com­men­cer à faire de toi une per­sonne libre. L’ab­sence de cou­rage et le plus gros vide qui en­trave ton cœur mais sur­tout ton es­prit. Pour­quoi avan­çons-nous le manque de cou­rage ?
On a ten­dance à croire que le contraire du cou­rage c’est la peur. Ef­fec­ti­ve­ment la peur peut-être consi­déré comme son contraire. Main­te­nant, avant que cette peur ne naisse en toi, il y a la confor­mité qui s’est ins­tal­lée. Je m’ex­plique: Nous vi­vons dans une so­ciété où nous avons suivi un mo­dèle pré­dé­fini, un mo­dèle bien donné basé sur l’amour, le suc­cès, le tra­vail, la gloire ou l’ar­gent. Tous ces élé­ments ont im­pacté ton iden­tité. Peu de gens se l’as­sume et veulent le re­con­naître mais ces mo­dèles pré­éta­blis ont forgé la per­sonne que tu es au­jour­d’hui en par­tie.
1ère raison : L’ennemi de ta conscience: « L’égo »
En ef­fet on a dif­fi­cile de de ce l’as­su­mer, main­te­nant nous avons ten­dance à croire que nos propres choix sont gui­dés par notre rai­son. Mais nous pre­nons cette dé­ci­sion parce que nous sommes in­fluen­cés par le re­gard des autres. Au­jour­d’hui ce­lui qui ose bra­ver les normes éta­blies par la so­ciété, sera consi­déré comme bi­zarre, stu­pide, fou où sera vu comme une per­sonne qui prend des risques.
En réa­lité, on consi­dère cette per­sonne comme étrange à la so­ciété parce qu’elle ne suit pas le mo­dèle donné. Une per­sonne qui conti­nue à suivre les idées re­çues d’un groupe d’in­di­vi­dus et tout sim­ple­ment une per­sonne qui a peur de sor­tir de cet état d’es­prit de confor­mité.
Donc le fait d’adop­ter le com­por­te­ment des per­sonnes qui sont au­tour de toi dans l’at­ti­tude de pen­ser te met dans cette confor­mité. Et lorsque tu es dans cette zone la peur d’être dif­fé­rent t’em­pêche de prendre des risques, d’in­no­ver et, de créer, d’ima­gi­ner et sur­tout de vivre comme tu le dé­cides réel­le­ment. En pre­nant conscience que c’est ton égo qui t’em­pêche de voir que tu es pri­son­nier du re­gard des autres, tu as déjà ac­com­pli le pre­mier pas vers la li­berté.
Un pro­verbe dit:
” Le Prisonnier n’est pas celui à qui on a dit qu’il est forcé de vivre dans une situation qui n’est pas de sa propre volonté, mais celui qui a conscience des barrières qui se trouvent autour de lui.”
Si tu ar­rives à voir les bar­rières qui t’en­tourent, tu as pris conscience de ton état de pri­son­nier qui est la pre­mière marche à suivre pour ne plus l’être.
2ème raison : La mauvaise analyse de sa liberté intérieure
Si on se trompe sur la li­berté où l’on ne sait pas ce qu’est la li­berté ça peut-être très grave pour notre vraie li­bé­ra­tion d’es­prit. Faire ce que l’on veut ne suf­fit pas pour ca­rac­té­ri­ser la li­berté. La vo­lonté de faire ce que l’on sou­haite, c’est aussi notre li­berté par rap­port aux autres hu­mains. Si dans cer­taines cir­cons­tances ou si­tua­tion on ne fait pas place au « moi per­son­nel » alors nous ne sommes pas libres.
La li­berté ce n’est pas de faire ce que l’on veut mais vou­loir ce que l’on fait. C’est un rap­port pro­fond de soi. Sommes-nous libres si nous ne pour­sui­vons plus d’ob­jec­tifs ? Parce que nos choix sont, comme nous le sa­vons, im­pac­tés par des in­fluences ex­té­rieures. Et sans in­fluences ex­té­rieures, sa­vons-nous quel choix est bien ou mal pour nous ? Nos choix sont dé­ci­dés en échange d’un but ou ob­jec­tif à at­teindre. Pour connaître la fa­çon de t’of­frir ce que tu dé­sires, ton pod­cast au­dio té­lé­char­geable gra­tui­te­ment se trouve à la fin de cet ar­ticle.
Toute li­berté est conta­gieuse car ce qui est ac­com­pli par au­trui nous prouve que c’est pos­sible. Par exemple voir un proche qui a réussi dans un ob­jec­tif au­quel il s’était fixé tel que la mu­sique, l’art, en­tre­pre­neu­riat ou le sport va te pous­ser à la ré­flexion et tu te di­ras cer­tai­ne­ment:” si il ou elle a réussi pour­quoi je ne pour­rai pas”, tout sim­ple­ment parce que tu es un proche de cette per­sonne et que tu as fré­quenté de près sa per­son­na­lité.
Tou­te­fois la li­berté est une ex­pé­rience in­di­vi­duelle et donc il est né­ces­saire d’exer­cer un ef­fort pour res­sen­tir cela. Par exemple, le fait de ne rien faire et vou­loir res­ter dans son lit pour pro­fi­ter de sa ma­ti­née, est un ef­fort car on s’est ef­forcé de main­te­nir la po­si­tion de « ne rien faire » pour réa­li­ser son dé­sir. La li­berté n’existe réel­le­ment qu’à par­tir du mo­ment ou l’on a fourni ou exercé un « ef­fort » pour ac­com­plir un but dé­siré en fonc­tion de notre rap­port in­té­rieur par rap­port à notre monde ex­té­rieur, c’est le pou­voir de ma­ni­fes­ter notre émo­tion de l’in­té­rieur en­vers les élé­ments ex­té­rieurs qui nous en­tourent.
De plus, lorsque nous dé­ci­dons de par­ti­ci­per à une ma­ni­fes­ta­tion c’est prin­ci­pa­le­ment pour com­bler un be­soin d’ap­par­te­nance à un groupe de per­sonnes donc notre li­berté est aussi par rap­port aux autres être hu­main. « La li­berté est un moyen et pas une fin ».Et en uti­li­sant ce moyen pour le di­ri­ger vers ton but et/​ou tes as­pi­ra­tions in­té­rieures tu au­ras la clé pour ac­com­plir ce qui te pas­sionne et bâ­tir des pro­jets.
Cet ar­ticle a été com­posé par Es­prit par­fait / Pod­cast té­lé­char­geable ici
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Ce qui détruit? C'est de croire que les solutions à nos problèmes viendront de l'extérieur
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Comment mieux diriger sa vie ? La connaissance ou l'intelligence, lequel faut-il cultiver en premier ?
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Les 3 idées reçues auxquelles tu crois qui ne te rendront jamais riche…
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Tu n’es pas assez épanouit notamment dans le cadre professionnel ou bien tu te demandes peut-être qu’est-ce que tu vas faire de ta vie ? Tu es dans une période de remise en question, tu aimerais avoir plus de la vie et tu ressens une pièce manquante à l’intérieur de toi quant à la satisfaction de tes désirs matériels.
Chaque être humain vit avec le besoin le plus intime de pouvoir vivre et connaître l’abondance. L’abondance est présente dans plusieurs domaines, maintenant ici nous allons parler plus en détail de l’abondance financière. Aujourd’hui au fond de toi tu désire avoir l’abondance financière pour ce qu’elle t’apporte. Car en plus de satisfaire tes besoins primaires de te loger, de te vêtir, d’avoir à manger, d’avoir un toit sur ta tête et de t’offrir l’opportunité de pouvoir satisfaire tes désirs les plus intimes, elle te permet de vivre des expériences qui te procure des sensations fortes.
Maintenant le plus gros problème à l’heure actuelle c’est que l’argent est diabolisé. Il est surtout mal vu à cause des idées reçues sur les personnes qui en possèdent. Il y a plein de mensonges véhiculer sur ça auquel tu as cru et probablement tu y crois encore qui t’empêche de satisfaire ce besoin d’abondance au point de vue financier.
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1ère idée reçue: “l’argent ne fait pas le bonheur ”
En effet tu ne pourras jamais connaître un succès sur le plan de vie financier, tant que tu conserves cette croyance. Tout d’abord pourquoi cette croyance est fausse ? Parce que la phrase n’est pas complète. Je m’explique: on dit que l’argent ne fait pas le bonheur, maintenant trouver le partenaire idéal dans le cadre d’une relation amoureuse ne fais pas non plus le bonheur.
Fonder une famille et avoir des enfants ne fait pas non plus le bonheur, avoir des relations et des amitiés riches ne font pas non plus le bonheur. Tout simplement toutes ces choses contribuent au bonheur. Donc affirmer que l’argent ne fait pas le bonheur a-t-il un sens ? Parce que l’argent comble un désir profond d’abondance chez l’être humain comme tu l’as vu précédemment.
Tu as toujours cru que l’argent ne faisait pas le bonheur parce qu’on l’a répété suffisamment de fois au cours de ton existence à tel point que cela a impacté ta manière de penser et de voir les choses. De plus tu ne t’es jamais posé la question si cela était en accord avec ta personne intérieur. Parce que si aujourd’hui je te pose certaines questions, comme : Est-ce que tu souhaiterais vivre une vie, où tu n’as plus à te soucier du fait de savoir comment est-ce que tu vas joindre les deux bouts à la fin du mois ?
Aurais-tu l’envie de t’offrir de bonnes choses pour toi et tes proches et voir cette joie partagée entre vous ? Souhaiterais-tu t’offrir les soins médicaux adapté à ta situation sans te soucier du coup que cela engendrerait ? Désirerais-tu combler tes envies de bien-être via des soins corporels qui sont parfois hors de prix ? Tu donnerais probablement une réponse affirmative à toutes ces questions.
L’argent résout beaucoup de problèmes et effectivement ce n’est pas ça qui rend heureux à lui seul, par contre il contribue à ton bonheur et il ajoute à ta personne une satisfaction matérielle en comblant tous tes désirs. Donc avoir de l’argent n’est pas mauvais, c’est l’amour pour celui-ci qui est dangereux.
Parce que si ton amour pour l’argent dépasse l’amour pour ta propre personne et pour les gens, cela est mauvais car tu perdrais de ton humanité. Le pire dans cela, c’est que tu vivras une vie malheureuse, car tu auras peut-être tout ce que tu désires de la vie mais tu ne pourras jamais toucher aux choses profondes et aux joies partagées à travers les relations qui te procurent un bien fait et qui font de toi une personne de valeur.
2ème idée reçu:” les riches sont mauvais”
Évidemment tu te doutes bien que si une personne connaît la prospérité financière, ce n’est pas pour rien, c’est parce que certaines choses précises se sont déroulées pour qu’une personne soit riche et surtout reste riche. On a tendance à oublier que les riches sont des êtres humains et ils sont vite diabolisés, c’est tout simplement des personnes qui ont pris conscience de leur besoin d’abondance financière et qui ont mis en œuvre des moyens pour.
Le fait d’être riche ne détermine pas si une personne est mauvaise ou non. Elle détermine tout simplement son état d’esprit face à l’existence et c’est bien pour cela qu’une personne est riche et une autre ne l’est pas. Une personne qui a de l’argent à foison est tout comme toi, une observation a démontré que l’argent a peu d’importance sur la condition de cœur d’une personne.
Un proverbe dit: “accorde de l’abondance à une personne et tu verras la vraie facette de son cœur, retire tout ce qu’elle possède et rend cette personne pauvre tu observeras la réalité de son cœur”.
L’être humain a des tentations et des désirs. Si une personne est mauvaise à la base c’est dans les circonstances extrêmes de la vie que l’on verra la réalité et le vrai visage de cette personne, tandis que si une personne reste intègre envers elle-même et honnête, elle sera toujours une bonne personne peu importe les conditions extérieur qui l’impact.
Un autre proverbe anonyme dit:” une personne lorsqu’elle se rend compte que ce qu’elle accomplit est malhonnête soit elle cesse son erreur, soit elle cesse d’être honnête».
Donc protège ton cœur plus que tout autre chose, car c’est de là que jaillissent les sources véritables de la vie. En vérité comme cela a été mentionné juste auparavant c’est l’état d’esprit qui détermine si tu seras riche ou pauvre. Si tu arrives à briser ces deux croyances vue jusque maintenant que tu as par rapport à l’argent tu auras déjà accompli 50 % du travail sur toi pour embrasser la prospérité financière.
3e idée reçues:” il faut travailler dur pour être riche”
Ceci est vrai dans un certain sens, pour obtenir ce que tu veux de la vie peu importe le domaine tu dois accomplir certaines actions sur une longue durée pour récolter ce que tu as semé. Mais en vérité, cela commence d’abord par la vision et la perception du monde qui t’entoure. En fait, une personne qui est riche à tendance à voir ce que la majorité des personnes considère comme désastres de la vie, malheur ou acharnement de l’univers d’une autre manière.
Une personne qui est riche cherchera toujours comment tirer profit de cette opportunité. Pour donner un exemple quant au coronavirus, la perception de la majorité des personnes est considérée comme une crise, tandis que d’autres appellent cela l’âge d’or ou l’eldorado du 21ème siècle. Pour en savoir plus sur le problème d’épanouissement de 97 % des personnes aujourd’hui je t’invite à télécharger ton podcast offert gratuitement à la fin de cet article.
Ceci est un exemple parmi tant d’autres, maintenant si nous allons plus en profondeur sur les cas précis de la vie, les bouleversements qui te touche peuvent t’amener à être anxieux, dépressif ou provoquer plus facilement des accès de colère voire de l’injustice en toi. Cela est vu comme une force pour rebondir et une opportunité pour développer sa force de caractère par celui qui a un état d’esprit d’abondance, il converti ses ressentis négatif en énergie positif pour travailler sur sa personne intérieur.
De plus elle ne va pas blâmer toutes les circonstances et les événements extérieurs. Cette même personne se demandera : pourquoi est-ce que j’ai amené cela dans ma vie? Tout simplement parce que ce genre de personnes ont conscience et prennent la responsabilité de tout ce qui se passe et de tout ce qui leur arrive dans leur existence, surtout elles ne se cherchent jamais d’excuse.
En conclusion change la perception de ton environnement et de ton monde, ensuite ce qui va t’arriver au cours de l’existence va changer. Parce qu’on dit souvent : on voit ce que l’on croit et on croit ce que l’on voit. Dans un certain sens cela est véridique, mais le fait de voir ce que l’on croit est beaucoup plus vrai, tout simplement parce qu’une personne a la capacité de voir uniquement ce qu’elle a décidé d’intégrer au plus profond d’elle-même et tenter de faire raisonner ou l’amener à percevoir quelque chose qui sort de ses croyance intime, c’est une perte de temps car sa raison l’empêche de voir ce que tu as à lui montrer.
Dale Carnegie, l’un des hommes les plus riche de tous les temps du 19e siècle a dit: “Tout ce que le mental de l’homme peut parvenir à y croire, il peut le réaliser”.
Comprends toutes ces informations et tu auras la base pour pouvoir bâtir des projets luxuriants et combler tes besoins d’abondance intérieure.
Cet article a été composé par Esprit parfait / Podcast téléchargeable ici
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Citation à prendre en compte
“Il n'est jamais trop tard pour s'excuser.”
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Les 2 gros mythes en amour qui te feront toujours souffrir
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Tues avec un partenaire ou peut-être tu as peur de t’engager dans une relation, pour plusieurs raisons: tu ne souhaite plus souffrir parce que on ne te respecte plus, tu es tombé dans une dépendance affective où tu es dominé, tu es peut-être victime d’une jalousie toxique, tu n’arrives plus à être épanouie, tu as l’impression de donner beaucoup sans avoir quelque chose en retour, tu ne te sens plus considérer à ta juste valeur, tu es tout simplement déçu. En fait pour des raisons plus profondes qui remontent aux traumatismes de ton enfance la notion d’amour est brisée et la réalité derrière ce tu n’as tout simplement pas conscience de comment fonctionne le véritable amour. L’amour est un art avant tout. Si tu as des difficultés à aimer et tu souffres en amour c’est parce que tu n’en connais pas les vérités ancré, de plus on t’a jamais apprit qu’est-ce que cela signifie en profondeur.
Si tu savais, tu serais probablement dans une relation épanouie, riche et durable. Car si tu n’as pas conscience des informations qui vont être délivrées dans cet article tu finiras comme les 98 pourcents des personnes qui vont souffrir en amour. Il n’est pas trop tard pour avoir accès à ces informations si tu es déjà dans une relation, et cela te sera utile à savoir avant d’entamer une relation pour t’assurer un succès garanti.
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Premier mythe: Faire la différence entre “le désir” et “l’état d’amour”, pourquoi échouons-nous en amour?
Nous vi­vons dans cette so­ciété qui est mo­ti­vée par les en­vies et la consom­ma­tion égoïste. Ici il faut sa­voir faire la dif­fé­rence entre le fait de « tom­ber » amou­reux et « l’état » amou­reux. Nom­breux sont ceux qui se re­trouvent dans le pre­mier cas qui n’est qu’une illu­sion. Ce mi­racle sou­dain d’at­trac­tion entre deux per­sonnes est mo­tivé par le dé­sir sexuel qui n’est pas du­rable. Les deux per­sonnes concer­nées fi­nissent par s’ha­bi­tuer l’une à l’autre.
C’est à par­tir de ce mo­ment que l’in­ti­mité par­ta­gée perd ce mi­racle. Et là s’ins­tallent l’en­nuie, les dé­cep­tions. Et au dé­but ces deux êtres ne se doutent de rien parce que l’in­ten­sité et l’en­goue­ment pour l’autre les mettent dans un état fou qui les font croire à un état d’amour. Alors qu’en fi­na­lité cela ne fait que ré­vé­ler le de­gré de leur so­li­tude qu’ils res­sen­taient avant de se ren­con­trer.
Au­jour­d’hui un nombre in­cal­cu­lable de per­sonnes se mettent en couple pour com­bler ce be­soin de so­li­tude, pire en­core ci­tons no­tam­ment, ce qui saute de re­la­tion en re­la­tion, pour mettre un pan­se­ment sur la dou­leur res­senti par rap­port à la rup­ture pré­cé­dente. Les émo­tions de cette per­sonne l’en­traînent tou­jours à sa propre ruine. Main­te­nant tu vas me dire, pour­quoi une per­sonne agit ainsi et tente de com­bler son vide in­té­rieur ? Tout sim­ple­ment parce que l’être hu­main agit par émo­tions et jus­ti­fie tout par la rai­son.
L’émo­tion­nel est une par­tie in­té­grante de l’hu­main, qui est dif­fi­cile à gé­rer et qui n’a pas été prise en compte suf­fi­sam­ment dans notre épa­nouis­se­ment de­puis notre plus jeune âge. Donc pour pal­lier à ce pro­blème il faut d’abord ap­prendre la maî­trise de soi qui donne un as­pect plus ra­tion­nel et plus ré­flé­chi quant aux dé­ci­sions que tu vas prendre au cours de ton exis­tence.
N’ou­blions pas que nous ne pou­vons ja­mais chan­ger l’at­ti­tude des autres, la seule at­ti­tude que nous pou­vons chan­ger est la nôtre. Une fois que cette at­ti­tude en nous est mo­di­fiée alors les élé­ments ex­té­rieurs à nous, vont elle aussi pro­gres­si­ve­ment chan­ger d’as­pect. L’at­ti­tude et la ma­nière dont tu penses, la ma­nière dont tu te res­sens et la fa­çon dont tu te com­portes ou agit.
C’est tout sim­ple­ment de l’in­tel­li­gence émo­tion­nelle que tu peux mettre à ton pro­fit. Pour cela tu peux com­men­cer à tra­vailler sur la pa­tience, qui est une vertu peu ex­ploi­tée à l’heure ac­tuelle. Cela t’évi­tera tout sim­ple­ment les dé­sastres qui ar­ri­ve­ront au cours de ta vie…
Comment palier à tous ces problèmes ?
Main­te­nant que tu as ap­pris que ce sont tes dé­sirs et tes émo­tions qui font le désordre, il faut com­prendre l’amour en pro­fon­deur. Comme on l’a dit tout à l’heure, l’amour est un art, tout comme vivre est un art. Si nous vou­lons ré­ap­prendre à ai­mer, nous de­vons pro­cé­der de la même ma­nière que pour ap­prendre n’im­porte quel art.
Ci­tons no­tam­ment la mu­sique, la pein­ture, la mé­de­cine et la mé­ca­nique. Et par­fois pour ap­prendre une chose il faut désap­prendre ce en quoi on a tou­jours cru. Tout d’abord il faut ces­ser de se lais­ser in­fluen­cer par la so­ciété qui nous fixe un mo­dèle de réus­site en met­tant en avant le suc­cès, l’ar­gent, la gloire avant tout autre chose.
Au fond de chaque être hu­main, il y a ce sen­ti­ment d’an­goisse pro­fond qui em­pêche l’épa­nouis­se­ment dans la re­la­tion amou­reuse. C’est pour cela que tes émo­tions sont au­tant trou­blées de base et comme dit pré­cé­dem­ment on a dif­fi­cile à ac­qué­rir la maî­trise de soi. Et l’an­goisse chez l’être hu­main si­gni­fie au sens propre une sé­pa­ra­tion de quelque chose.
Alors une autre ques­tion se pose, sé­pa­ra­tion face à quel élé­ment ? Et la dys­har­mo­nie entre ses émo­tions, sa rai­son et son com­por­te­ment, tu n’es pas ali­gné avec toi-même, tu es sé­paré du vrai toi in­té­rieur. Être sé­paré de soi-même t’em­pêche d’être conscient du vé­ri­table amour qui est en cha­cun de nous. Alors la grande ques­tion se pose…
Deuxième mythe: “Les ressentis intérieurs » et “l’état d’esprit”, qu’est-ce que le véritable amour ?
Pour com­prendre ce qu’est le vé­ri­table amour nous al­lons tout d’abord bri­ser les croyances aux­quelles tu as tou­jours cru. Pour t’ai­der il faut que tu puisses faire la dif­fé­rence entre l’at­ta­che­ment et l’amour. L’at­ta­che­ment est lorsque deux états ou deux choses se lient en­semble tan­dis que l’amour est deux élé­ments ou plu­sieurs élé­ments qui sont en union.
Lorsque tu es at­ta­ché à quel­qu’un on peut don­ner en exemple un ai­mant A et un ai­mant B qui par l’at­trac­tion sont col­lés. Tan­dis que l’amour ce n’est pas deux ai­mants qui sont col­lés c’est comme quand tu as ton lait et tu prends du ca­cao en poudre et que tu mé­langes ça te fait ton ca­cao au lait. Ce n’est plus du lait et du ca­cao en poudre mais c’est du lait cho­co­laté, en gros il n’y a pas une dif­fé­rence entre le ca­cao et le lait, en science on ap­pelle ça un mé­lange ho­mo­gène.
Ceci est l’une des bases à com­prendre et à Cer­ner, si tu veux une re­la­tion épa­nouie et riche de sens, sur­tout qui sera du­rable. Parce qu’en com­pre­nant cela tu ver­ras tout sim­ple­ment que le vé­ri­table amour n’est pas ja­loux, l’amour ne tient pas compte des torts su­bis, l’amour en­dure tout, l’Amour es­père tout.
Sur­tout l’amour ne dis­pa­raît ja­mais. En ayant conscience in­for­ma­tions tu au­ras ac­com­pli 80 % du tra­vail en toi-même pour avoir une re­la­tion plus pro­fonde. L’amour est un état tan­dis que l’at­ta­che­ment est un res­senti. Si tu ar­rives à faire la dif­fé­rence entre ton état et tes res­senti, tu mai­tri­se­ras la re­la­tion avec ton par­te­naire plus fa­ci­le­ment, de plus tu t’en­ga­ge­ras vers la route de la paix in­té­rieure.
En conclusion l’amour c’est…
Un état dans le­quel tu te trouves qui t’amène à être ali­gné avec toi-même. Sur­tout cet état t’aide en pro­fon­deur avoir une maî­trise sur des res­sen­tis émo­tion­nels. L’at­ta­che­ment dé­coule de l’amour. Donc si tu es dans un état d’amour, tu au­ras une maî­trise sur tes res­sen­tis et à l’at­ta­che­ment que tu as en­vers ton par­te­naire.
Il sera fa­cile de don­ner abon­dam­ment et re­ce­voir en re­tour en abon­dance de l’autre, tu ne res­sen­ti­ras pas le sen­ti­ment de manque et de so­li­tude, lorsque tu es ali­gné avec toi-même fait de toi une âme et une per­sonne com­plète. Tu ren­con­tre­ras alors le che­min vers l’épa­nouis­se­ment de ton être le plus in­time. C’est la base et la clé du suc­cès.
Pour en sa­voir plus je t’in­vite à al­ler té­lé­char­ger ton pod­cast of­fert gra­tui­te­ment sur le lien ci-des­sous à la fin de l’ar­ticle.
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